Destination Chaudière-Appalaches
Municipalité Berthier-sur-Mer
Berthier-sur-Mer est une municipalité du Québec, située dans la MRC de Montmagny dans la Chaudière-Appalaches. Elle est située en bordure du fleuve Saint-Laurent.
En 1672, le capitaine Alexandre Berthier reçoit en concession une seigneurie détachée de celle de Bellechasse et qu’il dénomme seigneurie de Berthier. Comme il acquiert plus tard une autre seigneurie qu’il nomme aussi Berthier (l’actuel Berthierville) le nom de la première devient familièrement Berthier-en-bas car elle est située en aval de la seconde. En 1719 une première église de pierre est construite, et la paroisse Notre-Dame-de-l’Assomption est érigée en 1722 par Mgr de Saint-Vallier. L’église actuelle est achevée en 1859.
La municipalité actuelle est érigée en 1855 sous le nom de Notre-Dame-de-l’Assomption-de-Bellechasse, mais son nom courant est Berthier-en-bas. Ce n’est qu’en 1971 que le nom actuel de Berthier-sur-Mer est adopté pour se distinguer de Berthier-en-Haut aujourd’hui Berthierville. Le mot « mer » fait référence au fait qu’à cet endroit du fleuve sa largeur est déjà de quelques kilomètres, que l’eau commence à être salée et que les marées sont importantes.
Municipalité Cap-Saint-Ignace
Cap-Saint-Ignace est une municipalité, dans la municipalité régionale de comté de Montmagny, dans la région administrative Chaudière-Appalaches, au Québec, au Canada.
Cap-Saint-Ignace est reconnue pour les centaines de milliers d’Oies des neiges qui y font halte au printemps et à l’automne. Les Fêtes de la Saint-Hubert s’y déroulent en septembre.
Les emblèmes de la municipalité sont le merlebleu de l’Est et le lin bleu.
Municipalité Lac-Frontière
Lac-Frontière est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Montmagny au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
Lac-Frontière est un petit village d’environ 175 habitants, développé surtout dans les années 1920 avec le moulin BC Horward. Anciennement, le village a porté le nom de Lac-des-Anglais, puis de St-Léonidas-du-Lac-de-la-Frontière qui a été transformé en Lac-Frontière. Cette petite municipalité était anciennement un village qui comptait de 2 000 à 3 000 habitants. Ce village est devenu plus petit à cause de la fermeture du moulin BC Howard et de nombreux feux ravageant des bâtiments et des habitations du village.
La municipalité est située à environ 60 kilomètres au sud de Montmagny et 90 kilomètres au nord-est de Saint-Georges. D’une superficie de 51,30 km2, la municipalité partage ses frontières avec l’État du Maine ainsi que les municipalités de Saint-Just-de-Bretenières à l’ouest, de Saint-Fabien-de-Panet et de Sainte-Lucie-de-Beauregard au nord ainsi que Saint Adalbert à l’est.
Ville Montmagny
Montmagny est une ville du Québec située dans la MRC de Montmagny dans la région de Chaudière-Appalaches à 56 kilomètres à l’Est de Lévis.
Le nom de la ville vient de Charles Jacques Huault de Montmagny, arrivé en 1636 comme premier gouverneur en titre de la Nouvelle-France. Ce territoire, d’abord désigné sous le nom de la Pointe-à-la-Caille, fut accordé en seigneurie, le 5 mai 1646, à ce gouverneur. La ville de Montmagny a été formée dans cette ancienne seigneurie (l’une des plus anciennes), de la « Côte-du-Sud ».
La ville de Montmagny doit son appellation à Charles Huault de Montmagny qui fut le premier gouverneur de la Nouvelle-France et le premier seigneur de la seigneurie de la Rivière-du-Sud en 1646. Le territoire de la ville correspond en bonne partie à celui de la seigneurie concédée au gouverneur. La famille Couillard a fortement contribué au développement de la seigneurie. Ils furent seigneurs et coseigneurs de la Rivière-du-Sud de 1654 à 1759, soit durant plus de 100 ans. Avec la croissance de sa population, une municipalité de village a vu le jour en 1845 et une municipalité de ville en 1883. Celles-ci fusionnent en 1966 pour donner naissance à la ville de Montmagny. Au cours de son histoire, Montmagny s’est affirmée comme une ville semi-industrielle dans une région essentiellement rurale
Municipalité Notre-Dame-du-Rosaire
Notre-Dame-du-Rosaire est une municipalité du Québec située dans la MRC de Montmagny dans la Chaudière-Appalaches.
La Commission de tomonymie du Québec écrit à son propos : « En 1883, monseigneur Elzéar-Alexandre Taschereau place la nouvelle paroisse qui vient d’être établie au sud de Montmagny, entre Sainte-Apolline-de-Patton et Sainte-Euphémie-sur-Rivière-du-Sud, sous la protection de Notre-Dame du Rosaire. Il pose ce geste sous l’influence de la lettre encyclique de Léon XIII, Supremi Apostolatus (1883), qui porte sur le rosaire de Marie. Cette appellation sera transférée à la paroisse religieuse érigée en 1889, puis à la municipalité créée officiellement en 1895. Vaste territoire peu peuplé, Notre-Dame-du-Rosaire reçoit ses premiers pionniers vers 1848, mais il faudra attendre 1890 pour que démarre vraiment la colonisation du Rosaire, comme l’on disait à l’époque, par l’arrivée massive de familles en provenance d’Armagh, de Montmagny, de Saint-Paul-du-Button, de Saint-Lazare et de Saint-Damien. Les limites de l’entité municipale sont comprises dans le canton d’Ashburton, arpenté vers 1860 et érigé en 1868
Municipalité Saint-Antoine-de-l’Isle-aux-Grues
Saint-Antoine-de-l’Isle-aux-Grues est une municipalité de paroisse du Québec située dans la MRC de Montmagny dans la Chaudière-Appalaches.
Elle comprend la plupart des îles qui composent l’archipel de l’Isle-aux-Grues, bien que la seule zone habitée en permanence soit située sur l’île aux Grues elle-même.
L’île aux Grues est une destination touristique populaire en été pour les amateurs de plein air et de calme. On y trouve une fromagerie réputée et on y fête la Mi-Carême.
Municipalité Saint-Fabien-de-Panet
Saint-Fabien-de-Panet est une municipalité de paroisse du Québec (Canada) faisant partie de la municipalité régionale de comté de Montmagny elle-même comprise dans la région administrative Chaudière-Appalaches.
Ce village d’environ 1000 habitants est situé au sommet d’une grande colline, dans le village on retrouve des services comme un CLSC, une piscine, un service ambulancier, des restaurants, des hôtels, une église centenaire, de nombreuses habitations pour personne âgés, des logements, une école, etc.
La paroisse a été sous le patronnage de saint Fabien en l’honneur de l’abbé Joseph-Fabien Dumais, qui fut l’un des premiers curés à desservir la mission Saint-Théodore de 1902 à 1904. L’élément Panet rappelle qu’une partie du territoire de la municipalité fait partie du canton de Panet dont le nom rappelle le souvenir de monseigneur Bernard-Claude Panet.
Quant à la mission Saint-Théodore, l’origine de son nom était en hommage à l’abbé Joseph-Théodore Mercier qui était alors curé à Saint-Magloire.
Les premiers colons de ce qui deviendra Saint-Fabien-de-Panet arrivent à la fin xixe siècle. En 1901, la mission Saint-Théodore est fondée. L’année 1904 est marqué par l’ouverture des registres de la paroisse, de la nomination du premier curé résident ainsi que le changement de nom en Saint-Fabien. Le 26 mars 1907, la constitution de la municipalité de paroisse de Saint-Fabien-de-Panet a lieu. L’érection canonique a lieu le 11 mai 1914.
Municipalité Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud
Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud est une municipalité du Québec (Canada) faisant partie de la municipalité régionale de comté de Montmagny elle-même comprise dans la région administrative Chaudière-Appalaches.
1er juillet 1845 : érection de la municipalité de St. François de La Rivière du Sud.
1er septembre 1847 : fusion de la municipalité avec plusieurs autres entités municipales pour l’érection du comté de Bellechasse.
1er juillet 1855 : érection de la paroisse de Saint-François de Sales de la Rivière du Sud à la suite de la division du comté de Bellechasse en plusieurs entités municipales.
15 mars 1969 : la paroisse de Saint-François de Sales de la Rivière du Sud devient la municipalité de paroisse de Saint-François-de-Sales-de-la-Rivière-du-Sud.
16 février 1985 : la municipalité de paroisse de Saint-François-de-Sales-de-la-Rivière-du-Sud change de nom et de statut et devient la municipalité de Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud.
Municipalité Saint-Just-de-Bretenières
Saint-Just-de-Bretenières est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Montmagny au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est située tout au sud de la région magnymontoise.
Son toponyme a une origine multiple. La dénomination « Saint-Just » fait ainsi référence à plusieurs martyrs : Juste d’Alcala, un enfant de 13 ans martyrisé en Espagne en 304, saint Just, un évêque de Lyon au ive siècle (c’est le saint chrétien vénéré par les catholiques et les orthodoxes et fêté le 2 septembre) et saint Just de Bretenières, un prêtre missionnaire français né à Chalon-sur-Saône (où la paroisse du centre ville porte son nom) et martyrisé en Corée en 1866. Cette dernière référence est due à un ajout opéré par un archevêque de Québec, le cardinal Louis-Nazaire Bégin. D’ailleurs, l’appellation « Bretenières », évoque aussi un petit village français, Bretenière, qui abrite le château familial de ce prêtre missionnaire. En 1991, la Commission de toponymie du Québec change Saint-Juste-de-Bretenières en Saint-Just-de-Bretenières en faisant disparaître le « e » de Saint-Juste.
Bien que le nom officiel soit Saint-Just-de-Bretenières depuis 1991, il est parfois encore orthographié Saint-Juste ou encore écrit Bretonnière au lieu de Bretenières.
Municipalité Saint-Paul-de-Montminy
Saint-Paul-de-Montminy est une municipalité du Québec (Canada) faisant partie de la municipalité régionale de comté de Montmagny elle-même comprise dans la région administrative Chaudière-Appalaches.
La paroisse est nommée en l’honneur de Paul de Tarse à cause de sa proximité avec Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud, les deux paroisses étant voisines jusqu’à l’érection de la paroisse de Sainte-Euphémie-sur-Rivière-du-Sud.
Quant à l’élément Montminy, il rappelle le canton de Montminy, lui-même nommé en honneur de l’abbé Louis-Antoine Montminy, curé de Saint-Gervais, qui encouragea la colonisation de la paroisse.
Municipalité Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud est une municipalité de paroisse du Québec (Canada) faisant partie de la municipalité régionale de comté de Montmagny, elle-même comprise dans la région administrative Chaudière-Appalaches.
Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud compte parmi les plus anciennes paroisses de la Côte-du-Sud. Un circuit vélo permet de découvrir les maisons patrimoniales, les bâtiments historiques ainsi que la richesse d’une église érigée en 1785, dévoilant une collection d’objets liturgiques de grande valeur. Le cimetière de Saint-Pierre de la rivière du sud est l’un des plus beaux au Québec et mérite le détour. En 2013, la paroisse de Saint-Pierre de la rivière du sud fêtait ses 300 ans d’existence (1713-2013). Un journal municipal mensuel nommé « Pierr’Eau » rend compte du vécu des citoyens de la municipalité au fil des saisons et des années.
Municipalité Sainte-Apolline-de-Patton
Sainte-Apolline-de-Patton est une municipalité du Québec (Canada) faisant partie de la municipalité régionale de comté de Montmagny elle-même comprise dans la région administrative Chaudière-Appalaches.
La municipalité est nommée en l’honneur d’Apolline d’Alexandrie, le cardinal Louis-Nazaire Bégin plaça la paroisse sous son patronage en gage de confiance et de foi en la localité.
Quant à l’élément Patton, il rappelle le canton du même nom où la municipalité est située. Le nom du canton rappelle le souvenir de William Randall Patton qui était un riche marchand de bois de Québec.
Sainte-Apolline-de-Patton a été fondée en 1902 par des colons de Cap-Saint-Ignace. Ils sont arrivés par ce qu’on appelle aujourd’hui la route de l’Espérance.
Municipalité Sainte-Euphémie-sur-Rivière-du-Sud
Sainte-Euphémie-sur-Rivière-du-Sud est une municipalité du Québec (Canada) faisant partie de la municipalité régionale de comté de Montmagny elle-même comprise dans la région administrative Chaudière-Appalaches.
La municipalité est située à une trentaine de kilomètres au sud de la ville de Montmagny. D’une superficie de 92,47 km2, la municipalité partage ses frontières avec les municipalités d’Armagh, de Notre-Dame-du-Rosaire, de Saint-Paul-de-Montminy, de Saint-Philémon et de Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud.
La municipalité est située dans la vaste pénéplaine du centre de la municipalité régionale de comté de Montmagny, la municipalité ayant une altitude moyenne de 335 mètres avec des collines avoisinant les 400 mètres. Le terrain est très argileux et la couche arable est constitué de schiste très peu perméable et comporte plusieurs blocs erratiques.
Municipalité Sainte-Lucie-de-Beauregard
Sainte-Lucie-de-Beauregard est une municipalité du Québec (Canada), située la MRC de Montmagny dans la Chaudière-Appalaches.
Le nom Sainte-Lucie-de-Beauregard a une origine multiple, la paroisse a été mis sous le patronage de sainte Lucie ou sainte Luce en l’honneur de la mère du cardinal Louis-Nazaire Bégin, née Luce Paradis. Quant à l’élément Beauregard, il a été ajouté au nom de la municipalité en souvenir du marquis Costa de Beauregard, le cardinal Bégin l’ayant connu à l’époque de ses études à Rome.
Les premiers colons du territoire arrivent en 1905 et 1906, la plupart viennent de la Beauce et de La Malbaie. En 1911, la mission de Sainte-Lucie-de-Rivière-Noire-Nord-Ouest. En 1916, le premier premier résident est nommé, le 26 février de la même année la municipalité de canton de Talon-Partie-Sud-Ouest est constitué. le 9 juin 1924 a lieu l’érection canonique de la paroisse de Sainte-Lucie. Le 18 a lieu le détachement de la paroisse de Sainte-Lucie-de-Beauregard à la municipalité de canton de Talon-Partie-Sud-Ouest. La caisse populaire de Sainte-Lucie-de-Beauregard est fondée le 18 mai 1946.
Source Wikipédia
MRC Montmagny est une municipalité régionale de comté (MRC) du Québec (Canada) dans la région de Chaudière-Appalaches. Le chef-lieu de la MRC de Montmagny est Montmagny.
À cause de leurs différentes caractéristiques, la plupart des gens se référant à l’une des régions parlent de l’Archipel-de-l’Isle-aux-Grues pour désigner le territoire de Saint-Antoine-de-l’Isle-aux-Grues, de Montmagny-Nord pour les cinq municipalités de la plaine du Saint-Laurent et de Montmagny-Sud pour les huit municipalités du plateau appalachien.