Destination Chaudière-Appalaches

MRC Lotbinière
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  • Leclercville
  • Lotbinière
  • Notre-Dame-du-Sacré-Cœur
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  • Saint-Patrice-de-Beaurivage
  • Saint-Sylvestre
  • Sainte-Agathe-de-Lotbinière
  • Sainte-Croix
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Municipalité Dosquet
Dosquet (Saint-Octave-de-Dosquet jusqu’en 1996) est une municipalité faisant partie de la municipalité régionale de comté de Lotbinière au Québec, elle-même située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur de Mgr Pierre-Herman Dosquet.


Fondé en 1912, les premiers habitants de la paroisse de Saint-Octave-de-Dosquet furent la famille de Louis Méthot provenant de Saint-Croix de Lotbinière, celle de Louis-Octave Ratté qui venait de Saint-Flavien et celle de Louis-André Pillot de Saint-Antoine de tilly. Par la suite, d’autres pionniers vinrent s’établir peu à peu à Dosquet; soit Méthot’s Mill en ce temps là. Le 16 mai 1880, la veuve de l’honorable Louis Méthot fit le don de ses terres de Méthot’s Mill à son fils Wenceslas. C’est le 24 décembre 1912 que le lieutenant-gouverneur de la province de Québec proclama l’ouverture de la Municipalité de Saint-Octave-de-Dosquet. Cependant, dû à un vice de forme dans l’élection des élus municipaux, ce n’est que le 9 février 1918 que l’organe officiel du gouvernement: la Gazette officielle, en fit écho. (Source : Livre du 75 ans de Dosquet parue le 30e jour du mois de novembre 1987 et transcrit par Gaétan Houde)

Dosquet a fêté son 100e anniversaire en 2012.

Municipalité Laurier-Station
Laurier-Station est une municipalité située en plein cœur de la municipalité régionale de comté de Lotbinière, au Québec (Canada). Elle est rattachée à la région administrative de Chaudière-Appalaches.

Laurier-Station se situe à 43 kilomètres au sud-ouest de la ville de Québec. Avec une superficie totale de 12 km², Laurier-Station est la plus petite municipalité de la MRC de Lotbinière. Son territoire prend la forme d’un parallélogramme large d’environ 1,7 km et long d’environ 7 km. Délimité par des propriétés agricoles, la route de la Pointe-du-Jour constitue sa frontière Est.

La municipalité est traversée par l’autoroute Jean-Lesage et s’articule de chaque côté de celle-ci. Le boulevard Saint-Joseph (route 271) est la principale artère locale. Le noyau villageois est composé d’une zone commerciale et industrielle, le long de l’autoroute, ainsi que d’une zone résidentielle. Des terres agricoles entourent le village. La rivière Huron prend sa source et traverse une partie de Laurier-Station en se dirigeant vers le nord. La municipalité compte également quelques petits ruisseaux agricoles. Son relief est plat, l’altitude variant entre 100 et 130 mètres.

Municipalité Leclercville
Leclercville est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Lotbinière au Québec, située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.


Leclercville fut ainsi nommé en l’honneur de Pierre Leclerc qui a donné le terrain sur lequel ont été érigés l’église et le presbytère.

Municipalité Lotbinière
Lotbinière est une municipalité du Québec située dans la MRC de Lotbinière dans la Chaudière-Appalaches. Les habitants sont les Lotbiniérains, à la différence des habitants de la MRC, les Lotbiniérois. Lotbinière fait partie de l’Association des plus beaux villages du Québec.

Municipalité Notre-Dame-du-Sacré-Cœur

Municipalité Saint-Agapit
Saint-Agapit est une municipalité du Québec située dans la MRC de Lotbinière dans la Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur du pape Agapet Ier.

C’est un village agricole de plus de 4 200 habitants. Chaque année au mois d’août, elle tient une foire agricole appelée « l’expo de Lotbinière » qui attire des gens de partout en région. Elle est aussi le théâtre d’un important rodéo qui a lieu sur les terrains adjacents à l’aréna à l’automne.

 

Saint-Agapit est le site de plusieurs industries de fabrication légère, dans le métal, le bois, les portes et fenêtres, de même que plusieurs commerces de service : banque, caisse populaire, deux écoles primaires, l’école secondaire Beaurivage, un aréna, une patinoire extérieure et un planchodrome. Un nouveau centre multifonctionnel fut inauguré en 2011, le Complexe des Seigneuries, où l’on trouve une salle d’entrainement et 11 salles pouvant accueillir des spectacles, des conférences, des mariages et plusieurs autres événements.

 

Les routes qui traversent Saint-Agapit sont les routes 116, 273, ainsi que la piste cyclable Route verte sur l’emplacement de l’ancienne voie ferrée.

Municipalité Saint-Antoine-de-Tilly
Saint-Antoine-de-Tilly est une municipalité du Québec située dans la MRC de Lotbinière dans la Chaudière-Appalaches.

Saint-Antoine-de-Tilly est à 25 kilomètres de Québec, sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent, route 132, en direction ouest. Cette municipalité qui fait partie de l’Association des plus beaux villages du Québec a fêté son 300e anniversaire en 2002.

La paroisse est d’abord connue sous le nom Saint-Antoine-de-Pade de Tilly. Elle honore ainsi saint Antoine de Padoue2. Le nom Tilly fait référence à Pierre-Noël Le Gardeur, sieur de Tilly

Municipalité Saint-Apollinaire
Saint-Apollinaire est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Lotbinière au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur d’Apollinaire de Ravenne, évêque martyr du iie siècle et disciple de saint Pierre. En 2007, la municipalité a fêté son 150e anniversaire de fondation.

La municipalité de Saint-Apollinaire est localisée sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent à environ 20 km des ponts de Québec près de 5 200 résidents permanents, territoire de 96 km2. Le territoire de la municipalité est traversé par l’autoroute Jean-Lesage (20) d’Est en Ouest et par la Route 273 du Nord au Sud.

Municipalité Saint-Édouard-de-Lotbinière
Saint-Édouard-de-Lotbinière est une municipalité de paroisse du Québec située dans la MRC de Lotbinière dans la Chaudière-Appalaches.


Elle est nommée en l’honneur de l’abbé Édouard Faucher et du seigneur René-Louis Chartier de Lotbinière.

Municipalité Saint-Flavien
Saint-Flavien est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Lotbinière au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.


Saint-Flavien se situe à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de la ville de Québec. D’une superficie totale de 65,89 km², Saint-Flavien est géographiquement positionné au cœur de la municipalité régionale de comté de Lotbinière dont elle compose environ 4 % du territoire1. Délimitée par des propriétés agricoles, la route Saint-André constitue sa frontière Ouest.

 

La municipalité est principalement traversée par le rang Saint-Joseph (route 271), du nord au sud, et par le rang des Pointes, d’est en ouest. Le noyau villageois se trouve au carrefour de ces deux axes routiers. Accessoirement, l’autoroute Jean-Lesage passe à travers la municipalité, mais dans un très court segment au nord-ouest. La municipalité compte quelques petits ruisseaux agricoles. Son relief est plat, l’altitude variant entre 110 et 140 mètres.

Avant les années 1990, le sous-sol de Saint-Flavien se caractérisait par la présence de gaz naturel. Depuis 1997, le gisement épuisé sert d’espace de stockage pour l’entreposage saisonnier du gaz, le plus grand réservoir souterrain au Québec.

Municipalité Saint-Gilles
Saint-Gilles est une municipalité du Québec située dans la MRC de Lotbinière dans la Chaudière-Appalaches.
Elle tire son appellation de la seigneurie Saint-Gilles, concédée en 1738 à Gilles Rageot de Beaurivage (1689-1754), négociant important de Québec.

 

Le 24 septembre 2016, la municipalité de la paroisse de Saint-Gilles change sont statut pour celui de municipalité.

Municipalité Saint-Janvier-de-Joly
Saint-Janvier-de-Joly est une municipalité du Québec située dans la MRC de Lotbinière dans la Chaudière-Appalaches.


Saint-Janvier-de-Joly est à l’ouest de Saint-Flavien et au nord-est de Val-Alain, à 20 km à l’ouest de Saint-Agapit. Elle est traversée par l’autoroute 20.

Municipalité Saint-Narcisse-de-Beaurivage
Saint-Narcisse-de-Beaurivage est une municipalité de paroisse dans la municipalité régionale de comté de Lotbinière au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée de l’évêque Narcisse de Jérusalem et du bienfaiteur Narcisse Dionne. L’érection canonique de la paroisse de Saint-Narcisse a eu lieu le 16 mai 1872, mais des colons y habitaient depuis 1830, alors que le territoire actuel de Saint-Narcisse faisait partie des paroisses limitrophes de Saint-Gilles, Saint-Patrice, Saint-Lambert et Saint-Bernard.

En 2002, la municipalité a procédé à des travaux de modernisation de ses infrastructures municipales ayant nécessité plus de 5 millions de dollars. Le chantier a été financé par les trois paliers de gouvernement. En plus de refaire à neuf son réseau d’aqueduc, Saint-Narcisse s’est dotée d’un réseau moderne d’égout et d’une station de traitement des eaux usées. Le projet a également contribué à la création d’un nouveau quartier résidentiel ayant comme centre la rue Bélanger et un quartier industriel situé autour de la rue Moore. Le développement de ce secteur s’est poursuivi avec une seconde phase, qui a permis la construction des rues Caux et Fontaine et le prolongement de la rue Moore.

Municipalité Saint-Patrice-de-Beaurivage
Saint-Patrice-de-Beaurivage est une municipalité du Québec située dans la MRC de Lotbinière dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.


La municipalité de Saint-Patrice-de-Beaurivage dans les débuts de la colonisation faisait partie de la Seigneurie de Beaurivage où le développement a été lent et difficile, étant donné que, comme partout d’ailleurs, les moyens d’y parvenir n’existaient qu’en suivant les méandres de la rivière Beaurivage.

La Seigneurie de Beaurivage comprenait les paroisses de Saint-Sylvestre, Saint-Patrice, Saint-Narcisse Saint-Gilles, une partie de Sainte-Agathe, de Dosquet et de Saint-Agapit. Le 1er avril 1738, cette seigneurie a été concédée à Gilles Rageot de Beaurivage.

Municipalité Saint-Sylvestre
Saint-Sylvestre est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Lotbinière au Québec (Canada), sise dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle fut ainsi nommée en l’honneur du pape Sylvestre Ier. Elle compte une population d’environ 1000 habitants.


La paroisse de Saint-Sylvestre au début du siècle était rattachée à la seigneurie de Beaurivage, dite aussi Saint-Gilles de Beaurivage, du nom de son premier seigneur, Gilles Rageot sieur de Saint-Gilles de Beaurivage, ainsi membre de la petite noblesse de Nouvelle-France.

 

Pour mieux comprendre les années antérieures à sa fondation, les difficultés de développement du territoire étaient dues en bonne part à la déficience du réseau routier et à l’absence de voies de pénétration à partir du fleuve jusque dans le sud du comté de Lotbinière, superficie couverte par cette seigneurie. Les rivières, en raison de leurs nombreux méandres, ne purent remplir ce rôle. Il faudra attendre les débuts du xixie siècle pour assister à l’essor de son développement.

 

La seigneurie couvre une superficie de deux-cent-cinquante milles carrés. Les paroisses de Saint-Sylvestre, Saint-Gilles et Saint-Patrice-de-Beaurivage sont entièrement formées de terres de la seigneurie Beaurivage. Une part des territoires des paroisses de Saint-Agapit,Sainte-Agathe, Saint-Narcisse et Dosquet provient également de celle-ci.

 

La seigneurie de Beaurivage fut la plus jeunes des huit seigneuries, œuvrant à l’époque, à être concédée. En effet, la concession porte la date du 1er avril 1798 et est faite à Gilles Rageot Sieur de Beaurivage.

 

Le nouveau seigneur fit d’abord borner sa nouvelle propriété avec les seigneurs de Lauzon, de Gaspé et de Sainte-Croix. Gilles Rageot, commerçant avant tout, avait peu de temps pour développer son domaine. Ainsi à sa mort (1754), la seigneurie n’avait guère progressé. Les fils ne surent pas tirer profit du grand domaine. L’un d’eux, Louis-Étienne, co-seigneur resté au pays après la conquête, tenta quelques établissements de colons dans la seigneurie, lesquelles ne furent pas concluantes. On attribue ces échecs au peu de ressources dont il pouvait disposer. Du reste, ne pouvant pas accommoder convenablement ses colons, ceux-ci se plaignent bientôt à la Cour des plaids communs. Cette dernière par un jugement du 24 novembre 1772 le force à construire un moulin à farine.

 

À la mort de leur mère en 1779, les enfants cèdent successivement le 18 septembre et le 1er octobre 1782, leurs droits sur la seigneurie Saint-Gilles de Beaurivage, à Alexandre Fraser, ancien capitaine du 84e régiment d’infanterie et seigneur de la Martinière pour la somme de 2 000 dollars.

 

Le seigneur avait comme principale préoccupation l’implantation de nouveaux colons sur ses terres. Aussi dès le 14 octobre 1783, il donne ordre au notaire, François-Dominique Rousseau, de préparer les titres de concession pour une quinzaine de colons, tous soldats d’origine allemande et plusieurs de religion catholique. Ils s’engageaient à défricher un arpent carré la première année et payer chaque année une rente de trois livres tournois par arpent de front et trois sols de cens. Plusieurs de ces colons catholiques épousèrent des Canadiennes et finirent par se fondre complètement à la population. Au décès accidentel du fils Fraser, le père légua son fief et sa seigneurie à son petit-fils qui n’avait alors que 10 mois. Le père du jeune Walter Davidson, avocat à Montréal, s’occupa de l’héritage afin de faire fructifier les biens. Il fit construire à Saint-Nicolas un moulin à scie et un moulin à farine.

 

Le centre du village au début du xxe siècle.
Le successeur des Davidson est Davis Ross car il acquiert très tôt la part de son beau-frère Robert McKay. Comme Walter Davidson, il va continuer à favoriser l’établissement de nouveaux colons dans la seigneurie de Beaurivage. Vers 1830 on retrouve une population de 1,500 habitants dont 700 sont établis sur 581 lots à Saint-Sylvestre. C’est sous son administration que vers 1840 un groupe de deux cents familles catholiques d’Irlande viennent s’établir dans la paroisse (incluant alors Saint-Patrice). Au décès de David Ross, c’est le fils Arthur Davidson Ross, né en 1842, qui prend la relève. Au cours de cette même année (1871) il devient le premier maire de la nouvelle paroisse de Saint-Patrice. Uni à Mary Clark Simpson en 1887, ils ont trois enfants. Au décès du mari, l’épouse continue à gérer la seigneurie jusqu’à sa mort, le 15 mars 1944. Philippe Therrien de Saint-Patrice achète le manoir et le terrain qu’il revend en lots. La seigneurie aura dès lors plusieurs gérants jusqu’en 1968. La rente seigneuriale ― sorte d’impôt de $4.00 dollars le lot ― que chaque propriétaire devait payer annuellement au seigneur, fut abolie en 19706. L’histoire fait mention qu’au moment de s’installer sur les lots de Saint-Sylvestre dans les années 1820 et 1830, le territoire comprenait aussi celui du Saint-Patrice actuel et une partie de Saint-Séverin

Municipalité Sainte-Agathe-de-Lotbinière
Sainte-Agathe-de-Lotbinière est une municipalité canadienne de la province de Québec située dans la municipalité régionale de comté de Lotbinière et dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur d’Agathe de Catane.

Municipalité Sainte-Croix
Sainte-Croix est une municipalité de près de 2 500 habitants dans la municipalité régionale de comté de Lotbinière au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.

 

La seigneurie de Sainte-Croix est la quinzième seigneurie à être concédée en Nouvelle-France, le 16 janvier 1637, par la Compagnie des Cent-Associés, sous Henri de Lévis. Elle est concédée aux Ursulines de Québec. Le père Jérôme Lalement prend possession symboliquement de la seigneurie le 14 septembre 1647 en leur nom. Il y installe des bornes lors de la fête de l’exaltation de la Sainte-Croix, qui rappelle l’invention, au sens de la découverte de la vraie croix, reconquise sur les Perses en 628. La fixation du toponyme de la paroisse vient de cette fête.


Les premiers colons arrivent vers 1680, dont la famille de Louis Houde, le 13 février 1682, résidant alors sur l’île d’Orléans. Il acquiert des Ursulines de Québec une terre de neuf arpents de front sur un plateau, en bordure du fleuve. Une première chapelle est bâtie en 1694 près du fleuve sur une partie de terre donnée par Louis Houde. Une deuxième église sera construite en 1732 sur la route principale. Le peuplement de la seigneurie se fait lentement puisque la seule route est la voie navigable du fleuve. Le chemin du Roy sera ouvert à la circulation jusqu’à la seigneurie, en 1718.

 

En bordure du fleuve, les Ursulines font bâtir un premier moulin à farine en 1754 qui sera exploité jusqu’à la construction d’un autre moulin en 1801, situé en haut de la côte.

 

L’érection canonique de la paroisse date de 1721 alors que son érection civile a lieu en 1845.

 

En 1846, Pierre-Gustave Joly, seigneur de la seigneurie de Lotbinière achète des Ursulines une partie des terres de Pointe-Platon, pointe de terre limitrophe des seigneuries de Lotbinière et de Sainte-Croix en bordure du fleuve. Il y fait bâtir un manoir qui sera appelé Maple House, en 1851, et qui servira de résidence d’été.

Municipalité Val-Alain
Val-Alain est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Lotbinière au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.

Le village se retrouve entre les municipalités de Lyster et de Saint-Janvier-de-Joly. Il est au croisement de la voie du Canadien National et du parcours de la rivière du Chêne. Situé à 2 kilomètres au sud de la Transcanadienne, le village regroupe un peu moins de 1 000 habitants. Avec son église, son école primaire, sa rue principale et sa nature, Val-Alain est un petit village rural type de la rive sud de Québec. Elle a de plus une économie variée, de l’agriculture à la petite manufacture jusque dans les services et les communications.

Le territoire de la municipalité a connu deux vagues importantes de colonisation, la première débutant en 1898, la seconde en 1930. Le toponyme Val-Alain s’impose en 1925. Lors de l’année 2008, Val-Alain fêta ses 75 ans d’existence.

Source Wikipédia

MRC Lotbinière est une municipalité régionale de comté (MRC) du Québec (Canada), situé dans la région de Chaudière-Appalaches. Son chef-lieu est Sainte-Croix. Ses habitants sont des Lotbiniérois, à la différence des habitants de la municipalité de Lotbinière, les Lotbiniériens