Destination Chaudière-Appalaches
Municipalité Adstock
Adstock est une municipalité du Québec située dans la MRC des Appalaches dans la Chaudière-Appalaches.
Adstock est le résultat de la fusion en 2001 des municipalités de Saint-Méthode-de-Frontenac, Sacré-Cœur-de-Marie-Partie-Sud et Sainte-Anne-du-Lac.
La municipalité d’Adstock est située dans la chaîne de montagnes des Appalaches. Son point culminant est le Mont Adstock avec une altitude de 712 mètres.
La municipalité comporte de nombreux chalets, notamment sur le bord d’un des six lacs : lac du Huit, lac à la Truite, Grand-Lac-Saint-François, lac Bolduc, lac Jolicœur, lac Rochu. Y coule aussi la rivière Bécancour.
Le canton d’Adstock fut érigé en 1869 à l’intérieur du comté de Buckingham qui, lui, datait de 1829. La paroisse de Saint-Méthode-d’Adstock a, quant à elle, été érigée en 1888. Elle prit le nom de Saint-Méthode-de-Frontenac en 1945. La municipalité de Saint-Méthode-de-Frontenac comprenait deux secteurs : Saint-Méthode et Saint-Daniel.
En 1910, des morceaux de territoires du canton de Thetford-Partie-Nord et du canton de Thetford-Partie-Sud furent détachés pour donner naissance à la municipalité de la paroisse de Sacré-Cœur-de-Marie.
Une partie du territoire de Sacré-Cœur-de-Marie s’en sépara en 1949 pour donner naissance à la municipalité de Sainte-Anne-du-Lac.
Municipalité Beaulac-Garthby
Beaulac-Garthby est une municipalité du Québec située dans la MRC des Appalaches dans la Chaudière-Appalaches.
Le village borde une partie du lac Aylmer, qui est son principal attrait touristique.
BEAULAC
La Commission de toponymie du Québec écrit à propos de Beaulac, avant la fusion : « Le territoire de la municipalité du village de Beaulac a été détaché de celui de la municipalité du canton de Garthby, sa voisine à l’ouest, et est situé dans la région administrative de la Chaudière-Appalaches. Les Beaulacquois, dont le nom souligne la particulière beauté du lac Aylmer sur les bords duquel ils sont installés, peuvent se vanter de vivre dans l’un des plus beaux coins du Québec, puisque leur village, érigé sur le plan municipal en 1896, s’étend sur une pointe de terre à la végétation luxuriante. Toutefois, le village est couramment désigné sous la dénomination de Garthby, nom de la municipalité mère, de la station de chemin de fer, du bureau de poste et de la paroisse de Saint-Charles-Borromée-de-Garthby, érigée canoniquement en 1887. Point n’est besoin d’insister sur la florissante industrie forestière, cynégétique, halieutique et de villégiature qu’on retrouve à cet endroit de même que sur tout le pourtour du lac Aylmer. »
GARTHBY
À propos de Garthby, la Commission écrit : « Le canton de Garthby, proclamé en 1855, est à l’origine de la dénomination d’une municipalité de canton homonyme, créée en 1874, par suite de la séparation des cantons de Garthby et de Stratford érigés en deux municipalités distinctes, sur la rive nord d’une baie du lac Aylmer, la baie Ward, au sud de Disraeli. Ce nom rappelle une localité de l’Angleterre du nom de Garth, dans le pays de Galles. Le canton de Garthby a été ouvert à la colonisation en 1848 sous les auspices de la Société de colonisation de Québec. Toutefois, un sol très difficile a retardé le développement des lieux qui comptaient 140 Canadiens français en 1850 et 275 habitants dix ans plus tard, dont 32 d’origine britannique. Une chapelle était construite en 1849 et dédiée à saint Olivier en l’honneur de monseigneur Charles-Olivier Caron (1816-1893), grand vicaire de l’évêque de Trois-Rivières de 1857 à 1893. Sur le plan religieux, la mission de Saint-Charles-Borromée-de-Garthby voit le jour en 1851, fait l’objet d’une érection canonique en 1887 et d’une érection civile en 1889 sous le nom de Saint-Olivier-de-Garthby. Suivant Hormisdas Magnan, la modification de la dénomination de Saint-Olivier en Saint-Charles-Borromée, survenue en 1898, avait pour justification le fait que saint Olivier ne figure pas au martyrologe romain. Toutefois, un bureau de poste local a porté cette appellation de 1879 à 1883. »
Ville de Disraeli
Disraeli est une ville située dans la municipalité régionale de comté (MRC) des Appalaches, dans la région administrative de Chaudière-Appalaches, au Québec, au Canada.
Sur les rives du lac Aylmer, elle est totalement enclavée dans la paroisse de Disraeli.
La toponymie de la municipalité fait référence à l’homme politique anglais Benjamin Disraeli. Jusqu’en 1953, le village se nomme d’Israëli. Le tréma disparaît en 1969 au moment de la création de la ville.
L’église de Sainte-Luce a été érigée entre 1924 et 1926. Ses plans ont été conçus par Louis-Noël Audet, un architecte principalement actif dans la région de Sherbrooke11. Un incendie a détruit la première église le 25 avril 19241. Construit entre 1890 et 1891, son presbytère demeure. Un cimetière complète le site. Il comprend un charnier et un calvaire. La dévotion catholique s’exprime aussi par la présence d’une grotte commémorant les apparitions mariales de Lourdes.
Sur le plan de l’architecture résidentielle, des maisons construites au XIXe siècle sont situées sur la rue Champoux et sur la rue Saint-Joseph Est. D’autres résidences bâties durant la même période sont localisées dans les rangs de la municipalité de paroisse voisine Disraeli.
Municipalité East Broughton
East Broughton est une municipalité de 2 223 habitants dans la municipalité régionale de comté des Appalaches au Québec. Elle est située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
East Broughton, située aux confins de la Beauce, est bornée au nord et au nord-est par Saint-Pierre-de-Broughton; à l’est par Tring-Jonction et Saint-Jules; au sud par Saint-Victor et Sainte-Clotilde; à l’ouest par le canton de Thetford du comté de Mégantic. La route 112 ainsi que la voie ferrée du Québec Central traversent la municipalité de l’est à l’ouest.
East Broughton est située dans une région de plaines. Les terres sont sablonneuses en grande partie parce qu’elles ont été formées par le travail des glaciers. Ils ont nivelé les hauts sommets des Appalaches, creusé des vallées et déposé un peu partout des cailloux innombrables que des générations successives de valeureux travailleurs peinent à ramasser, sans jamais voir leur rude besogne terminée. Beauce et Frontenac sont probablement les districts les plus rocailleux du Québec, mais en retour, la terre accorde beaucoup à l’homme qui a eu le courage de la fouiller avec constance et générosité. Le boisé est surtout formé d’érables, de merisiers, de hêtres, de sapins, d’épinettes et d’un peu de cèdres. Les cultivateurs s’adonnent à la grande culture, à l’industrie laitière, à l’élevage et très peu à la culture maraîchère. Au moins la moitié d’entre eux possèdent une érablière.
Il y a ici et là de petites rivières. On en voit au 9e, au 7e et au 5e rang. La rivière Broughton passe entre la voie ferrée et le village, contournant ce dernier, et creuse de plus en plus sa vaste vallée vers le sud-est.
Le 18 juin 1845, le Canton de Broughton est annexé au comté de Beauce, alors que Pierre-Elzéar Taschereau était député. À la même date fut érigée la première municipalité scolaire de Broughton.
Le premier mariage se trouve inscrit dans les registres d’East Broughton le 30 juillet 1871. Il s’agit de Charles Bouchard, cultivateur de la paroisse Sainte-Marie, qui unit sa destinée à Philomène Gamache de la mission de Sacré-Cœur-de-Marie.
Municipalité Irlande
Irlande est une municipalité située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches au Québec. Elle fait partie de la municipalité régionale de comté des Appalaches.
Irlande ne possède pas de noyau urbain ou villageois à proprement parler. Le secteur de Maple Grove, situé à l’intersection des routes historiques du chemin Gosford et du chemin Craig, constitue le seul hameau notable de la municipalité. C’est là que sont érigés l’église anglicane et son presbytère.
Municipalité Kinnear’s Mills
Kinnear’s Mills est une municipalité située dans la municipalité régionale de comté des Appalaches au Québec (Canada), situé dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
Le village tire son nom d’un moulin implanté par James Kinnear. Il a été détruit en juin 1952 par une crue subite.
Kinnear’s Mills est connue pour ses magnifiques paysages et ses quatre églises situées à la même intersection en plein cœur du village. La municipalité est traversée par la Route 216 qui est sur l’ancien tracé du Chemin Craig.
Municipalité Sacré-Coeur-de-Jésus
Sacré-Cœur-de-Jésus est une municipalité de paroisse dans la municipalité régionale de comté des Appalaches au Québec, située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
Son nom fait référence au Sacré-Cœur2. La sainte Famille est également honorée par les toponymes des municipalités voisines de Sacré-Cœur-de-Marie-Partie-Sud, de Saint-Joseph-de-Coleraine et de Sainte-Anne-du-Lac.
La municipalité est située à une vingtaine de kilomètres à l’est de Thetford Mines. D’une superficie de 104,87 km2, la municipalité partage ses frontières avec les municipalités d’Adstock et de Saint-Pierre-de-Broughton à l’ouest, Saint-Séverin au nord, Saint-Frédéric, Tring-Jonction, Saint-Jules et Saint-Victor à l’est ainsi que Sainte-Clotilde-de-Beauce au sud. Le village d’East Broughton est enclavé dans la paroisse, l’ancien village d’East Broughton Station était également enclavé.
Municipalité Sainte-Clotilde-de-Beauce
Sainte-Clotilde-de-Beauce est une municipalité du Québec située dans la MRC des Appalaches dans la Chaudière-Appalaches.
Elle est nommée en l’honneur de sainte Clothilde, épouse de Clovis2. L’élément Beauce fut ajouté afin de rappeler l’ancienne division de récensement à laquelle appartenait la municipalité et servait à différencier la municipalité des autres Sainte-Clot(h)ilde du Québec.
La colonisation du territoire s’effectue à partir des environs de 1869, des gens originaires de Sainte-Marie s’installe alors dans le 9e rang du canton de Tring, ils s’étaient alors constitués sous le nom de Petit-Sainte-Marie et demandent la création d’une église à partir de 1890. Ce n’est qu’en 1922 qu’une desserte paroissiale, alors que la plupart des premiers pionniers de Sainte-Clotilde-de-Beauce s’établissaient sur le territoire de la future municipalité depuis 1920. La desserte fait place à la véritable paroisse de Sainte-Clotilde en 1935.
Le village était tout de même désigné sous le nom de Corriveau jusque dans les années 1950.
Municipalité Sainte-Praxède
Sainte-Praxède est une municipalité de paroisse dans la municipalité régionale de comté des Appalaches au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur de Praxède de Rome, sœur de sainte Pudentienne et martyre du iie siècle.
La première mission est établie en 19081. La paroisse est créée à partir des territoires de Disraeli et Lambton
1908 : Établissement de la première mission.
1er janvier 1944 : Érection de la paroisse de Sainte-Praxède..
Municipalité Saint-Adrien-d’Irlande
Saint-Adrien-d’Irlande est une municipalité dans la municipalité régionale de comté des Appalaches au Québec, située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
Saint-Adrien-d’Irlande est situé dans la chaîne de montagnes des Appalaches.
Le canton d’Ireland est érigé en 1802. Il n’y avait pas d’habitant à cette époque sauf la présence périodique d’autochtones. Inauguré en 1811, le chemin de Craig favorise l’établissement de colons dans la région.
En novembre 1871, Mgr Elzéar-Alexandre Taschereau permet la célébration de messes dans les résidences privées puis la construction d’une chapelle. Le premier curé est l’Abbé J. Alphonse d’Auteuil et sa nomination par Mgr Taschereau a lieu en 1879. Dans la même année, Andéline Dussault est la première baptisée, Étienne Jolin et Délima Gagné sont les premiers à s’y marier et Angèle Béland est la première enterrée.
La construction de l’église actuelle commence au printemps de 1878 et se terminera en 1918 par le perron et le recouvrement extérieur de bardeaux d’amiante. La population à cette époque est d’un peu plus de 900 habitants, dont environ 75 familles protestantes et 155 familles catholiques.
Les principaux désordres de l’époque sont les rixes, chicanes et consommations excessives de boisson à l’occasion de courses de chevaux, de danses à l’occasion des noces, de corvées, d’insubordination des enfants due à la négligence des parents.
Municipalité Saint-Fortunat
Saint-Fortunat est une municipalité dans la municipalité régionale de comté des Appalaches au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
Les premiers colons s’établissent sur le territoire vers 1856. La mission catholique s’installe en 18672. Au début des années 1870, elle comprend une chapelle et un cimetière. L’église est érigée en 1872.
29 octobre 1872 : Érection de la paroisse de Saint-Fortunat de Wolfestown.
6 février 1960 : La paroisse de Saint-Fortunat de Wolfestown devient la municipalité de Saint-Fortunat.
Municipalité Saint-Jacques-de-Leeds
Saint-Jacques-de-Leeds est une municipalité du Québec située dans la MRC des Appalaches dans la Chaudière-Appalaches.
12 septembre 1929 : Érection de la municipalité de Saint-Jacques-de-Leeds.
Elle est nommée en l’honneur de Jacques le Majeur et de la ville britannique de Leeds.
Municipalité Saint-Jean-de-Brébeuf
Saint-Jean-de-Brébeuf est une municipalité du Québec (Canada), faisant partie de la MRC des Appalaches dans la région administrative de la Chaudière-Appalaches.
La route 216 passe dans cette localité. Cette route était anciennement le chemin Craig.
1849 : La municipalité se nomme Lower Ireland.
1er janvier 1946 : Érection de la municipalité de St-Jean-de-Brébeuf.
15 mars 1969 : La municipalité change de nom pour Saint-Jean-de-Brébeuf.
on nom rappelle la mémoire de Jean de Brébeuf, né à Condé-sur-Vire en 1593, martyrisé par les Iroquois à Sainte-Marie-au-pays-des-Hurons près de Midland (Ontario), le 16 mars 1649.
Au XIXe siècle, la municipalité se nommait Lower Ireland.
Municipalité Saint-Joseph-de-Coleraine
Saint-Joseph-de-Coleraine est une municipalité du Québec située dans la municipalité régionale de comté de Appalaches et dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
Saint-Joseph-de-Coleraine possède cinq lacs, le Grand lac Saint-François, le Petit lac Saint-François, le lac Bisby, le lac Rond et le lac Caribou.
Le village de Vimy-Ridge est situé dans la municipalité de Saint-Joseph-de-Coleraine entre les monts King et Caribou. Il a été construit vers 1917 par la compagnie Bennett et Martin de Thetford Mines, en vue de l’exploitation des gisements d’amiante des environs. C’est en 1931 qu’intervint son rattachement à Saint-Joseph-de-Coleraine5. De nos jours, une quarantaine de résidences occupent le périmètre urbain de Vimy-Ridge.
Endroit de plein-air par excellence, les sentiers pédestres des 3 Monts et la réserve écologique de la Serpentine-de-Coleraine sont situés dans cette municipalité.
Municipalité Saint-Julien
Saint-Julien est une municipalité québécoise de la municipalité régionale de comté des Appalaches au Québec (Canada) et de la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur de l’abbé Julien-Melchior Bernier.
Installé le long du chemin Gosford vers 1850, Saint-Julien est le premier lieu d’établissement de colons canadiens-français et irlandais dans le canton.
1er juillet 1855 : Érection du township de Wolfestown.
2 avril 1960 : Le township de Wolfestown devient la paroisse de Saint-Julien.
18 juin 2005 : Saint-Julien change son statut pour celui de municipalité.
Municipalité Saint-Pierre-de-Broughton
Saint-Pierre-de-Broughton est une municipalité dans la municipalité régionale de comté des Appalaches au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
Située dans la région des montagnes Appalaches, la municipalité présente une topographie accidentée. Au nord-est, on retrouve le Domaine du Radar et le Mont Sainte-Marguerite. La municipalité est traversée par les rivières Palmer et Whetstone ainsi que les ruisseaux Perry et de la Source1. Historiquement, la municipalité est répartie sur trois cantons, soient Broughton, Leeds et Thetford.
L’hagionyme Saint-Pierre aurait pu être inspiré par l’un des pionniers prénommés Pierre de la région qui s’y installèrent entre 1852 et 1860. Selon Pierre-Georges Roy, le nom de Broughton, d’abord donné au canton, identifierait une localité située dans le Lancashire en Angleterre. D’autres lieux portent toutefois ce toponyme et auraient pu être la source du nom du canton.
Ville de Thetford Mines
Thetford Mines est une ville du Québec, au Canada, située dans la municipalité régionale de comté des Appalaches en Chaudière-Appalaches. En 2015, la population était de 25 621 habitants selon le « décret 1060-2014 de la population du Québec » du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation.
Thetford Mines est située à environ 100 km au sud-ouest de la ville de Québec et à équidistance au nord-est de Sherbrooke. La ville est traversée par la rivière Bécancour.
Thetford Mines a été fondée en 1876, après la découverte d’un gisement éponyme d’amiante (plus précisément chrysotile) par Joseph Fecteau. D’abord connue sous le nom de Kingsville, elle fut renommée Thetford Mines en 1905.
Vers 1930, Amiante a été annexée à la cité de Thetford Mines.
Thetford Mines a fusionné avec Rivière-Blanche le 14 décembre 1994, et depuis les fusions municipales au Québec, le 17 octobre 2001, Thetford regroupe la municipalité de Saint-Antoine-de-Pontbriand, la municipalité du village de Robertsonville, la municipalité du canton de Thetford-Partie-Sud ainsi que les villes de Black Lake et bien sûr, Thetford Mines.
Étant la plus grande ville de la région de Thetford (MRC des Appalaches), la ville de Thetford Mines regroupe sur son territoire différentes institutions de services publics telles que l’hôpital général, le Cégep de Thetford et, depuis juillet 2018, le nouveau Centre de congrès de Thetford.
La ville est le lieu de plusieurs activités culturelles comme le Festival Promotuel de la Relève et l’équipe de hockey locale, l’Assurancia, qui évolue dans la LNAH en plus de l’équipe de baseball majeur, les Blue Sox de Thetford.
Le quartier Saint-Maurice a été touché à deux occasions par l’exploitation de la mine Beaver. En 1953, l’agrandissement du puits a englouti un secteur dont il ne reste plus de traces. Entre 1970 et 1973, un second déménagement a eu lieu. L’objectif consistait à laisser l’emplacement libre pour les futures exploitations minières, ainsi qu’à éloigner la population des sites où on utilisait des explosifs[réf. souhaitée]. Certains bâtiments n’ont pas été déménagés, dont l’église Saint-Maurice qui a dû être démolie.
Aujourd’hui, plusieurs disent que le déménagement fut inutile, puisqu’il n’y a jamais eu d’utilisation du terrain pour exploitation minière. De plus, plusieurs citoyens ont été dérangés par la façon dont le quartier a été réaménagé, puisque les habitations furent regroupées selon leur style, valorisant ainsi l’esthétique au détriment de l’aspect humain.
Source Wikipédia
MRC Les Appalaches est une municipalité régionale de comté (MRC) du Québec dans la région de la Chaudière-Appalaches. Jusqu’au 15 novembre 2008, elle était nommée « MRC de l’Amiante ». La ville principale est Thetford Mines et les municipalités locales constituant la MRC sont souvent référées collectivement par l’expression « Région de Thetford ».